mercredi 31 décembre 2014

Bonne Année!


Prêts pour une nouvelle année ?

Qu’aimeriez- vous vivre, transformer, développer ou commencer en 2015 ?

Traditionnellement, c’est le moment où on fait une liste de bonnes résolutions que l'on tiendra plus ou moins longtemps.

Et si, au lieu de faire une liste de résolutions, vous faisiez une liste de vos souhaits, sans « je dois », « il faut ».


Pour chaque domaine de votre vie choisissez ce que votre cœur désire le plus et notez le.

Pour chacun des souhaits que vous avez notés sur votre liste imaginez vous votre souhait réalisé, sans vous préoccuper du « comment ». Vivez le dans votre imagination comme si c’était une réalité.
Qu’est-ce que vous voyez ?
Qu’est-ce que vous entendez ?
Comment vous sentez vous dans votre corps ?
Qu’est-ce que vous vous dîtes de vous ?
Quelle émotion ressentez-vous ?

Laissez vous vivre ce moment pleinement.

Lorsque les sensations, émotions, pensées agréables sont au maximum vous pouvez y associer un geste que vous pourrez répéter plus tard et/ou un mot qui évoque ce que vous êtes en train de vivre en imagination. Ce geste et/ou ce mot vous servira d’ancrage et vous permettra quand vous le souhaitez de vous remettre dans cet état agréable.

Faites ce petit exercice régulièrement, par exemple chaque soir avant de vous coucher, et/ou le matin au réveil.

Prenez le comme un jeu, sans attente, sans pression. Si vous « jouez » avec cela régulièrement vos sensations s’affineront, les images deviendront plus précises. La sensation de bien-être sera de plus en plus présente.

Notre cerveau ne fait pas de différence entre ce qui est réel et ce que nous imaginons dans notre tête. C’est pourquoi le stress lié à liées à nos peurs du futur, à nos anticipation anxieuses de tel ou tel événement a un impact sur notre système nerveux et génère des changements hormonaux de la même façon que si nous vivions ces évènements dans la réalité.

Cette particularité du cerveau peut être utilisée à notre avantage en anticipant non pas des situations anxiogènes mais au contraire des situations où nos désirs les plus profonds sont déjà réalisés.


Dans cet état, notre physiologie et notre état psycho-émotionnel sont en quelque sorte « branchés » sur la fréquence « réalisation de mes désirs». Nous y croyons de tout notre être. Selon le principe de la "Loi d'Attraction", au niveau énergétique les "vibrations" émises permettent d’attirer à soi les évènements, personnes, situations de vibrations identiques et donc conformes à nos désirs, et surtout de les reconnaître et de les accueillir. 

Cela ne signifie en aucune façon qu’aucune action ne sera nécessaire pour atteindre vos objectifs mais que cet élan positif intérieur facilitera grandement les actions extérieures à mener et que vous vous sentirez soutenus dans vos actions.

Il peut arriver qu’en visualisant votre désir/objectif atteint vous ressentiez un malaise, des « oui mais », bref des résistances. Cela signifie que vous êtes en contact avec des parties de vous qui bloquent la réalisation de votre objectif. Elles ont besoin d’être entendues.

Imaginez que vous dialoguez avec cette ou ces parties de vous : de quoi ont elles peur, qu’est-ce qu’elles pensent, qu’est ce qu’elles ressentent.

Vous pouvez utilisez l’EFT ou d’autres outils de psycho-énergétique pour rassurer ces parties de vous et vous libérez de vos blocages.

Lorsque cela sera fait vous pourrez alors reprendre l’exercice de visualisation de vos objectifs réalisés.




jeudi 25 décembre 2014

JOYEUX NOEL A TOUS


Je vous souhaite à toutes et à tous un très Joyeux Noël et une très belle fin d'année!

J’ai trouvé récemment un article intéressant sur Noël sur le site

Il existe plusieurs hypothèses sur l’origine du mot Noël. En voici deux :

Le mot Noël  n'est mentionné nulle part dans les évangiles. Ce mot viendrait de l’expression latine « dies natalis » (jour de naissance) employée par les Chrétiens pour célébrer la naissance du Christ. Au fil du temps, « natalis » a évolué phonétiquement en « Nael » puis en Noël vers 1175.

L’autre hypothèse serait que Noël viendrait de l’assemblage de 2 mots gaulois utilisés pour désigner la renaissance du soleil au solstice d’hiver : Noio (nouveau) et hel (soleil)

Au Ier siècle avant JC, à Rome on célébrait le culte de Mithra, divinité perse de la lumière. Le 25 décembre correspondait au solstice d’hiver, de la naissance du dieu Mithra « le soleil invaincu ».

C’est à partir du IIème siècle que l’Eglise recherche la date précise de la naissance du Christ que l’on ne trouve pas dans les évangiles. En l’absence de document établissant la date de naissance de Jésus l’Eglise choisit la date du 25 décembre en fonction du solstice d’hiver et probablement pour contrer la fête païenne de Mithra.

Origine de la bûche de Noël


La coutume d’allumer une bûche à Noël, dans la cheminée remonte à très longtemps et existait dans toute l’Europe. On dit que le feu produit par la bûche est un hommage au soleil. Cette tradition serait dérivée de diverses célébrations païennes associées au solstice d’hiver.

A l’origine, il s’agissait d’une bûche qui devait brûler du 24 décembre jusqu’au Nouvel An. Allumée dans la pièce à vivre, elle apporte chaleur et lumière. On devait choisir une très grosse bûche de bois dur ou une vielle souche provenant de préférence d’un arbre fruitier.

La bûche devait être coupée avant le lever du soleil. Elle était souvent décorée de rubans. On la portant ensuite dans la pièce familiale avec un grand cérémonial.
En France la coutume dit qu’on doit placer dans l’âtre autant de bûches qu’il y a d’habitants dans la maison. Le chef de famille bénissait la bûche avec de l’eau et du sel et parfois avec du vin.

Il faillais s’occuper des bûches avec les mains : aucun instrument ne pouvant s’approcher du feu. Si le feu faisait beaucoup d’étincelles, on disait que la moisson de l’été suivant serait bonne. Si la lumière faisait projeter des silhouettes sur le mur, on disait qu’un membre de la famille allait mourir au cours de l’année.

Les centres de la bûche étaient précieusement conservées pour guérir certaines maladies et pour fertiliser les terres.
C’est pour continuer à célébrer ce rituel que la bûche de Noël a vu le jour sous la forme du dessert bien connu qui aurait été inventé par un pâtissier en 1945.


mardi 23 décembre 2014

Conférence Astrologie Mondiale – L’année 2015


Si vous vous intéressez à l'astrologie de qualité je vous conseille d'aller à la conférence que présentera Sylvie Lafuente Sampietro, Fondatrice de l’Astrologie Humaniste Appliquée, à Paris le 24 janvier à 20H00.

Ancienne élève de Sylvie j'ai pu faire l'expérience de la profondeur de son enseignement qu'elle prodigue de façon claire, structurée et pleine d'humour.


Je lui laisse la parole:

« Dans un climat politique obscur où nous ne savons plus à quoi et à qui faire confiance, il s’agit de faire des choix et d’agir pour construire un monde auquel nous avons envie d’appartenir.  C’est le défi que nous lance le dernier carré Pluton/Uranus en 2015.

La conjonction de 1966 a lancé une révolution intellectuelle et technologique qui modifie radicalement le monde et notre façon de penser.

Plutôt que de se laisser polluer par un climat délétère, il s’agit d’engager nos vies, de suivre nos inspirations, de respecter nos valeurs humaines et spirituelles. »

La conférence qu’elle propose vous donnera des clés pour trouver des questions essentielles :

Comment prendre le recul nécessaire ?
Comment se protéger du désespoir et des conflits inutiles ?
D’où provient l’inspiration humaniste, solidaire et spirituelle ?
Comment laisser jaillir la lumière ?

Cette conférence intitulée « Agir en toute lucidité » se tiendra 

Samedi 24 janvier à 20H00 
à « L’Arbre aux Oiseaux », 
60 rue St Sabin, 
75011 Paris
Prix d’entrée : 15 €

La salle n’étant pas très grande et les places vite prises, je vous conseille de réserver votre place rapidement.

Si vous êtes intéressé, envoyer votre demande par mail à Sylvie Lafuente Sampietro

Sylvie Lafuente Sampietro est formatrice et consultante
Elle est basée à Grenoble au Centre d’Astrologie Humaniste Appliquée
1 rue Expilly, 38000 Grenoble
Tel : 04 76 44 45 96

dimanche 21 décembre 2014

POUR UN HIVER DANS LA BONNE HUMEUR

Photo d'Igor Zenin
Le solstice est un événement astronomique qui se produit lorsque la position apparente du Soleil vu de la Terre atteint son extrême méridional ou septentrional. Les solstices correspondent à une durée de jour maximale ou minimale. 

Le 21 décembre correspond au solstice d’hiver et au jour le plus court de l’année ainsi qu’à l’entrée officielle dans l’hiver.

Certaines personnes vivent très mal l’hiver, le manque de lumière et le froid les affectent profondément. 

Quelques astuces pour bien vivre l’hiver

S’imprégner du soleil matinal. Selon Ani Kalayjian, professeur de psychologie clinique à l’Université de Columbia, le blues de l’hiver est ressenti tout particulièrement au réveil.  C’est pourquoi il faudrait ouvrir ses rideaux pour être exposé le  plus possible à la lumière naturelle quand on émerge.

Il est normal d’avoir envie de ralentir son rythme en hiver. De nombreux mammifères hibernent et nous ressentons cette envie de plus dormir, de rester plus à l’intérieur. Profitez de la nuit qui tombe plus vite pour vous couchez vous plus tôt. Par contre,  pour éviter la léthargie et la déprime,  assurez vous de garder une activité physique, un rythme d’activités quotidiennes, de voir vos amis.

En cas de déprime ou  dépression, il est très important de bouger votre corps : cela relance l’énergie, chasse les idées noires et libère des endorphines, l’hormone qui donne la joie de vivre.

La luminothérapie. Il existe des lampes conçues pour vous exposer à une lumière d’une intensité et d’un spectre lumineux semblable à la lumière du jour. Elles ont une action sur la sérotonine et donc sur l’humeur et la vitalité.


Profitez de vos soirées à la maison pour allumer un bon feu (si vous avez une cheminée bien sûr!!). Sinon allumez une bougie et rester à contempler la flamme. L’énergie du feu amène optimisme et joie de vivre. Vous pouvez également décorer votre intérieur de quelques guirlandes lumineuses. 

Evitez le sucre. Préférez un édulcorant comme la stevia (mais surtout pas les édulcorants de synthèse !). Le sucre en effet est très acidifiant et s’ajoute à l’effet acidifiant du froid de l’hiver. Il favorise également la prolifération du candida albicans, qui provoque de nombreux symptômes dont un état dépressif. Des études ont montrées que dans les pays où l’on consomme beaucoup de sucre, le taux de dépression est plus élevé que la moyenne. 
Cela ne veut pas dire vous priver de desserts. Vous trouverez sur internet de nombreuses recettes de délicieux desserts très sain.



Sortez pour respirer l’air frais chaque jour. Selon Kelly Rohan, directrice d’un centre clinique à l’Université de Vermont,  marcher après le lever du soleil est particulièrement efficace. La rétine prend la lumière et marcher vous apporte les bénéfices d’une activité physique.



Développez des activités hivernales. Trouver un sport ou une activité qui vous apporte du plaisir. S’amuser est crucial pour être de bonne humeur rappelle Kelly Rohan.


Pratiquer la relaxation, le yoga, la méditation, des exercices de respiration ou toute autre activité qui réduit le stress et met votre mental et votre émotionnel au calme.

Entourez vous de douceur. Pulls, châles ou écharpes moelleux qui tout en vous gardant bien au chaud vous procure le plaisir de la douceur de leur contact.


Aidez vous des plantes. Il existe de nombreuses plantes qui calment le système nerveux (Mélisse, Passiflore, Valériane, Rhodiola). Le millepertuis est utilisé pour traiter des dépressions légères. Il a des effets comparables à certains antidépresseurs. Il faut d’ailleurs éviter de consommer les deux simultanément. D’autre part il a une action inhibitrice sur certains médicaments et doit donc être pris loin de la prise de vos médicaments.


Les huiles essentielles sont aussi des alliés pour la bonne humeur. Par exemple, le mélange orange/cannelle est très approprié en cette saison, alliant les propriétés calmantes de l’orange à celles plus tonifiantes et antivirales de la cannelle. 

Je vous souhaite à toutes et à tous un bel hiver !


mercredi 17 décembre 2014

Quand le perfectionnisme vous bloque - L’EFT à la rescousse - 2ème partie


Cet article est la suite de celui publié le 14 décembre. Je vous conseille donc de commencer par lire la première partie et pour les personnes qui ne connaissent pas l’EFT de visionner les petites vidéos et de faire les tapotements sur quelques rondes pour vous familiariser avec les points utilisés.

Nous allons maintenant passer à la pratique.

Nous allons commencer par un petit exercice très révélateur proposé par Rhonda Byrne dans son livre "La Magie" qui consiste à choisir une erreur que vous avez commise dans le passé et pour laquelle vous vous sentez encore coupable. Cela peut être quelque chose en lien avec une situation, une autre personne ou bien vous-même.
Prenez un papier et faîtes une liste de 10 choses positives que vous a apportées cette erreur. Que vous a-t-elle apprise ? Quelles sont les choses positives qui ont découlées de cette erreur. Ce vous paraîtra peut être difficile mais prenez cela un peu comme un jeu et faîtes juste du mieux que vous pouvez avec l'intention de découvrir quelque chose de nouveau. Vous pourrez bien être surpris de voir qu’une erreur n’est pas une faute mais une source d’expérience, de prise de conscience et donc d’évolution.


Maintenant en avant pour votre pratique d'EFT.

Installez vous confortablement, avec à côté de vous un grand verre d’eau.

Pour savoir  où vous vous situez, pensez à une erreur que vous avez faîtes ou un projet que vous n’avez pas réussi à mener à bien et dites vous « j’ai fait de mon mieux ». Ecoutez votre dialogue interne : y a t’il une voix à l’intérieur de vous qui vous dit : « non, tu auras dû faire mieux ».

Si on vous dit : « Tout le monde fait des erreurs : cela permet d’apprendre et de rectifier ce qui n’a pas marché », comment réagit cette voix à l’intérieur de vous ?

Qui dans votre famille, entourage vous a fait croire qu’il fallait être parfait, ne jamais faillir?

Est-ce que vos parents étaient très exigeants avec vous et vous critiquaient souvent, trouvant que vous n’aviez pas été suffisamment bien faits pour atteindre leurs critères?

Parfois l’enfant a l’impression que c’est par ses actions qu’il peut obtenir l’approbation et l’amour de ses parents. Etait-ce votre cas?

Quel était le discours de votre famille sur le fait de ne pas réussir quelque chose ?

Aviez vous droit à l’erreur ?

Vous a-t-on expliqué que faire des erreurs fait partie du processus d’apprentissage ?

Les racines de ce perfectionnisme qui vous paralyse et vous enferme se trouvent dans votre passé.

Laissez remonter des souvenirs où vous avez été critiqué, ou vous vous êtes senti rejeté parce que ce que vous avez fait avait été jugé comme insuffisant.

Soyez le plus spécifique possible : par exemple : le jour où mon père m’a donné une claque parce que j’avais eu une mauvaise note en math.

Un souvenir peut en amener un autre : notez les et utilisez l’EFT régulièrement sur les différents souvenirs et aspects liés à ces évènements du passé.  

Un schéma bien ancré de perfectionnisme nécessite en général de la persévérance pour traiter l’ensemble des racines à l’origine de ce comportement.

Toutefois si vous avez un passé douloureux et traumatique je vous conseille de vous faire accompagner, au moins pour quelques séances, par un thérapeute praticien en EFT ou autre technique de psycho-énergétique. De votre côté vous pourrez accélèrerez vos progrès en pratiquant régulièrement l’EFT entre les séances dès qu’une émotion difficile se présentera dans votre quotidien.

Pour vous aider à introduire l’EFT dans votre vie sans que l’attente du moment parfait vous empêche de faire quelques rondes d’EFT il peut être judicieux de décider tout simplement de faire 5 minutes d’EFT tous les matins au lever ou tous les soirs avant de vous coucher.

D’autre part, les perfectionnistes ont une difficulté supplémentaire quand il s’agit  d’utiliser l’EFT sur eux même car ils ont peur de ne pas trouver la cible parfaite, les mots parfaits … et là aussi cette exigence de perfection les bloque.

C’est pourquoi pour commencer je vous propose un petit protocole sur la peur de ne pas « faire comme il faut » pour vous aider à commencer à utiliser l’EFT.

Pour commencer fermez les yeux et portez votre attention à l’intérieur de vous : comment vous vous sentez à l’idée de faire cette ronde EFT.

Quelle émotion ressentez-vous ?

Quelle sensation dans le corps ?

Qu’est ce que vous vous dîtes sur vous ?

Lorsque vous êtes connecté à cette émotion, à cette sensation corporelle, à cette croyance sur vous même est-ce que cela fait remonter un souvenir, une image à la mémoire. 

Sur une échelle de 0 à 10 à combien évaluez l’intensité de cet état désagréable ressentie : 0 = aucun 10 : on ne peut pas faire pire

Par la force des choses, puisque nous ne sommes pas en face à face, le protocole qui suit est très général mais le fait d’avoir pris le temps de vous poser les questions vous a connecté à une cible. La stimulation des points d’acupuncture utilisés en EFT tout en répétant les phrases proposées va initier un processus et vous familiariser avec le tapping (autre appellation de l’EFT).



Point Karaté :
Même si je ne veux pas me tromper et que rien que l’idée de commencer à faire de l'EFT me stresse, je choisis de me donner la permission d'en faire l’expérience

Même si je pense que je dois parfaitement maîtriser l’art de faire de l’EFT avant de commencer je choisis de m’autoriser à me lancer quoiqu’il en soit.

Même si j’ai peur de ne pas faire comme il faut et que je ne supporte pas de faire des erreurs, je m’ouvre à la possibilité d’en faire l’expérience et de m’accepter quelque soit le résultat.

Sommet du crâne: J’ai peur de ne pas faire comme il faut

Début du sourcil : ça me bloque et m’empêche de démarrer

Coin de l’oeil: j’ai peur de ne pas trouver les mots justes

Sous l’oeil: de ne pas stimuler le point exact

Sous le nez: si je ne fais pas parfaitement ça ne va pas marcher

Menton: et comme je ne maîtrise pas cette technique

Clavicule: je ferai mieux d’attendre d’avoir acquis une certaine expertise

Sous le bras: mieux vaut ne rien faire plutôt que de mal faire

Sous le sein: en même temps si je ne fais rien je m’empêche de recevoir les bénéfices possibles

Pouce: et si je me lançais tout de même

Index: sans attente particulière

Majeur : et si je commençais à m’accepter comme je suis 

Annulaire : et accepter que c’est OK de faire des erreurs.

Point Karaté : que cela fait partie de l’expérience de la vie

Point de gamme : et permet même de s’améliorer

Sommet de la tête : En fait, je pourrais même me féliciter d’avoir oser m’y mettre !

Faite une pause, prenez une grande inspiration, buvez de l’eau.

Comment vous sentez vous ? Regarder le chiffre que vous aviez noté pour évaluer votre niveau de désagrément.

Vous venez de faire l’expérience d’une ronde d’EFT.

Pour arriver à une transformation complète de l’émotion de départ, en général, on a besoin de faire plusieurs rondes en faisant de petites pauses entre pour évaluer les changements.

On continue :

Point Karaté :
Même si je me bloque moi même en voulant trop bien faire je m’ouvre à la possibilité de m’aimer et de m’accepter complètement comme je suis.

Même si je veux tellement atteindre la perfection que cela me stresse énormément, que j’en ai des tensions dans le corps et que je me dis que je n’y arriverai jamais, je choisis de lâcher toutes ces attentes irréalistes et juste de faire du mieux que je peux.

Même si je ne me sens pas à la hauteur devant mes exigences de perfection, que je me juge très durement et que la peur de mal faire me paralyse dans mes actions je m’ouvre à la possibilité de changer ma vision des choses et de percevoir que les erreurs offrent en fait des possibilités de compréhension, d’amélioration et d’évolution.

Dessus de la tête : Je dois absolument être parfait(e)

Début des sourcils : Je dois réussir parfaitement du premier coup

Coin de l’œil : Le problème c’est que je ne me sens pas capable d’atteindre cette perfection

Sous l’œil : Alors je n’ai même plus la force d’essayer

Sous le nez : Je me sens coupable de ne pas arriver à m’y mettre

Clavicule : j’ai tellement peur de faire des erreurs

Sous le bras : De ne pas être à la hauteur

Sous le sein : c’est trop risqué de faire des erreurs

Pouce : c’est un peu comme si ma valeur dépendait de ma parfaite réussite

Index : d’ailleurs dans ma famille l’échec n’était pas acceptable

Majeur: je me sentais rejeté par mes parents quand je me trompais

Annulaire: comme si l’amour dépendait de mes accomplissements.

Point Karaté : je ne veux pas risquer la critique

Point de gamme : je ne veux pas risquer le rejet

Dessus de la tête: je n’ai pas le droit à l’erreur

Début des sourcils: et si j’étais plus indulgent(e) avec moi même

Coin de l’oeil: et si je m’ouvrais à la possibilité de voir mes erreurs comme des apprentissages

Sous l’oeil : et si je me détendais et tentait l’expérience sans avoir d’attente

Sous le nez: le fait est que la perfection n’existe pas

Menton: alors pourquoi viser l’impossible

Clavicules : Et si j’acceptais d’y aller pas à pas

Sous le bras : De m’améliorer petit à petit

Sous le sein : De m’encourager

Pouce : De me féliciter pour ce que j’accomplis

Index : d’être fier(e) de moi

Majeur : je choisis d’oser agir

Annulaire : sans peur du résultat

Point karaté : en faisant du mieux possible

Point de gamme : et en m’acceptant comme je suis

Prenez une grande respiration profonde, buvez de l’eau.

Maintenant quand vous pensez à une tâche que vous repoussez par peur de ne pas réussir, comment vous sentez-vous.

Refaites ces 2 petites sessions aussi souvent que nécessaire.


Je vous conseille  dans un deuxième  temps de revenir au souvenir ou à l’image spécifique qui a pu remonter durant le questionnement proposé au début de cet article et de faire une ou plusieurs rondes sur tout ce que vous ressentez, tout ce que vous avez envie de dire. Si cela vous bloque d’avoir à trouver les points restez juste connecter à votre image, sensation, souvenir, émotion et faites la ronde en stimulant les points.

J’ai une bonne nouvelle pour vous, les phrases utilisées en EFT consistent tout simplement à dire ce que vous ressentez à l’intérieur : il suffit d'être sincère et vous aurez automatiquement les mots justes.

Si vous hésitez encore : mettez vous devant une glace et dites à votre reflet  tout ce que vous pensez de vous tout en stimulant les points et comment cela vous fait sentir, quelles sensations vous avez dans le corps en disant tout cela. C’est un dialogue avec vous même, avec cette partie de vous qui veut être parfaite et qui se met en situation d’échec en mettant la barre beaucoup trop haut.

Ne censurez rien, dites tout ce que vous avez sur le cœur et vous verrez la différence.

Persévérez, allez y pas à pas, vous êtes en route vers plus de paix intérieures, vers l’acceptation de vous même.

Et j’ai un secret à vous dire : vous êtes parfait(e) comme vous êtes avec ce que vous nommez vos « imperfections » qui font partie de notre nature humaine.

Alors détendez vous, aimez vous et … faîtes de l’EFT régulièrement !